Quelques souvenirs autour de l'exposition Constellations et Hôtel de Benjamin Nuel.

Les classes qui ont participé aux visit’ateliers de l’exposition Constellations du 17/11/12 au 26/01/13 : collège Châteaudun (Belfort), collège Simone Signoret (Belfort), collège Lucie Aubrac (Morvillars), collège Brossolète (Montbéliard), classe relais 90 lycée Condorcet (Belfort).

Les visit’ateliers proposés :
1- Une œuvre, des mots…
L’exposition est présentée au sens large. Par groupe, les élèves choisissent une œuvre, puis à partir d’une liste de mots qu’ils vont choisir, ils vont écrire un texte qui présente l’œuvre.
Un guide de découverte d’une œuvre sert de ligne conductrice online casino aux élèves. Chaque groupe présente ensuite l’œuvre avec l’aide de la médiatrice.
2- Visite colin maill »art.
Sans avoir vu l’exposition, par groupe de 2, l’un les yeux bandés, la deuxième personne le guide et lui explique ce qu’il voit. Ensuite, les duos se retrouvent dans un salle neutre où chacun fait part de son expérience. Celui qui a eu les yeux bandés dessine l »œuvre comme il l »a imaginée. Tout le groupe découvre ensuite l’exposition avec la médiatrice.
3- La couleur dans les œuvres. Quelles sont les couleurs dominantes des œuvres ? Que nous racontent-elles ? Par groupe, une couleur sera choisie : des émotions, des mots, des dessins seront évoqués. Une discussion est proposée par rapport à l »œuvre et la symbolique des couleurs.

Retour en images…

Découverte de l’exposition Constellations

Vendredi 14 décembre de 14h à 16h.

Dans la continuité du projet « Prémices et expériences des images en mouvement… et la société de consommation », et après avoir défini ensemble ce qu’est la société de consommation, les élèves ont essayé, par groupe de deux, de trouver un lien entre une œuvre de l’exposition et la société de consommation.

Plus d’infos sur l’exposition… Cliquez.

 

Société de consommation : société (groupe organisé d’êtres humains) où les consommateurs (nous) sont incités à consommer des biens (vêtements, jeux vidéos.…) et services (cours de sport…) de manière abondante (tout le temps).

Voici donc les liens qu’ont trouvés les élèves en fonction des œuvres.

PVQ de Peter Luining évoque l’esthétique visuelle et sonore des premiers jeux vidéos avec des formes géométriques et une musique minimaliste évoquant la logique perdre/gagner. Les élèves ont précisé que les jeux vidéos sont créés pour acheter et jeter : une fois qu’on a gagné, on le jette et on achète un autre jeu.

Dream screens de Suzanne Hiller nous invite à rêver avec des écrans qui changent de couleur, une personne à la voix monotone lit des extraits de textes de romans, de sciences traitant du rêve. Et la société de consommation ne nous vend-elle pas du rêve pour qu’on ne cesse pas d’acheter ?

BorderXing de Heath Bunting aborde la notion de frontière (ligne qui sépare deux pays) et est une borne de documentation sur les périples de l’artiste qui traverse les frontières des pays d’Europe sans papier et en évitant de passer par la douane. L’artiste invite à voir autrement ces frontières car il est pour la libre circulation de l’humain et de son contact avec la nature. Il est contre la consommation des touristes et la réglementation parfois strictes des frontières.

Improved Tele-vision de Cornelia Sollfrank aborde le droit d’auteur (droit accordé à tout créateur d’une œuvre artistique -par exemple une peinture-, littéraire -par exemple un texte- ou scientifique -par exemple une invention technologique- : il est le seul à pouvoir décider de l’utilisation qui sera faite de son œuvre. ) à travers une confrontation entre deux artistes célèbres qui ont accéléré et ralenti une œuvre d’Arnold Schönberg car le premier était déçu par ce qu’il avait entendu et le deuxième avait trouvé cela irrespectueux. Est-ce facile de reprendre une oeuvre et la ralentir ? Cela fait-il partie de la consommation : on prend une musique, on la modifie rapidement, on se l’approprie avec un autre titre ?

H.U.M.A.N.W.O.R.L.D, l’artiste collectionne les packagings (emballages des produits) du monde entier et il a fait une recherche autour de la société, l’histoire et des personnes qui ont posé sur ces paquets… Les élèves ont donc remarqué que les packagings sont très importants pour que l’humain s’identifie au produit et donne envie d’acheter. S’il n’y avait pas de packagings, peut-être qu’on serait moins tenté d’acheter ?

Beaucoup de réflexions et de prise de conscience sur notre manière de consommer durant cette visite…


Découverte de l’exposition Constellations

Jeudi 13 décembre.

Igor a pu découvrir les œuvres du net art de l’exposition Constellations, qui présentent des thèmes différents.

Dream screens de Susan Hiller et T.R.I.P de Monica Studer et Christopher van de Berg évoquent des univers de rêve où l’on plonge dans une autre dimension, où on se laisse bercer par des images de couleurs. Igor a créé avec le logiciel d’images Alchemy un univers abstrait abordant son monde de rêve. Regardez.

igor

Improved Tele-vision de Cornelia Sollfrank expose une œuvre sonore « la nuit transfigurée » (1899) du célèbre compositeur Arnold schönberg qui a été ralentie et modifiée par plusieurs artistes. Cette pratique a déclenché un débat sur le respect de cette œuvre. L’artiste invite le spectateur à manipuler lui-même la musique. En exécutant cette musique, qu’elle soit accélérée ou ralentie, Igor a dessiné  un champ de bataille et un film d’horreur : un univers évoquant la querelle, la confrontation et résumant bien le message de l’œuvre.

igor-improvtv

Pvq de Peter Luining est une œuvre montrant une série de jeux vidéos au graphisme simple avec formes géométriques simples et une musique électronique évoquant l’univers des premiers jeux vidéos (Pong). Il est difficile de gagner car il faut être réactif et comprendre le fonctionnement de chaque jeu, cela devient frustrant. Igor a réalisé sur le logiciel de son Garageband une création évoquant la frustration quand on perd à un jeu vidéo. Ecoutez.

A la découverte de l’exposition « Hôtel » de Benjamin Nuel.

Jeudi 22 novembre 2012.

Cet après-midi, les élèves ont découvert une exposition « Hôtel » de Benjamin Nuel à La Galerie du Granit, Scène nationale de Belfort (pour en savoir plus, cliquez). Cette exposition montre des personnages (des terroristes et des contre-terroristes) issus d’un jeu vidéo de tir qui évoluent dans un monde virtuel, cohabitent ensemble et ont l’air de s’apprécier. Au visiteur de découvrir ce qu’il se passe dans ce monde et ce que font les personnages.

Le début de la visite a commencé par un jeu : le colin-maillard. Un élève a les yeux bandés, une personne le guide dans l’exposition et lui décrit une œuvre qu’il voit. Ensuite, celui qui a les yeux bandés dessine ce qu’il a imaginé. La première œuvre se nomme « Hôtel » , c’est un jeu vidéo où l’on explore un monde virtuel comprenant un hôtel, un parc et ses habitants peu communs à fréquenter ce type de lieu. Après avoir exploré cet univers, les élèves ont retenu ces mots clés : personnages de Counter Strike (jeu vidéo de tir), lenteur, attente, bugs, map (zone d’un jeu vidéo), pas d’action. L’élève qui a les yeux bandés a dessiné l’hôtel qu’il a imaginé.

Dessin de l’Hôtel par un élève.

Le bug (erreur informatique qui crée un dysfonctionnement) est très important dans cette exposition puisque l’artiste le met en scène. Des éléments du décor, des personnages ne sont pas finis ou sont pixélisés, des objets se déplacent sans explication. D’habitude, les bugs montrent un problème et peut troubler le joueur. L’artiste s’amuse en les mettant en valeur.

A partir de cette œuvre, Benjamin Nuel a voulu raconté une histoire et a réalisé 10 séries autour de ce monde virtuel. Les élèves ont donc regardé les 2 premières séries. Depuis début octobre, une série sort par semaine, ce qui crée une attente. L’artiste s’inspire des univers cinématographiques policiers ou de suspens. A côté, il a créé des inter-séries, un espace virtuel qui donne des indices sur la prochaine série.

Les élèves ont donc compris que c’est un monde qui se déconstruit d’où la présence de « bugs ». Certains éléments sont pixélisés. On attend quelque chose, on s’ennuie presque mais on a envie de découvrir ce qu’il se passe. Pourquoi les personnages ont des discussions absurdes? C’est que que veut évoquer l’artiste.

L’artiste évoque aussi l’archéologie numérique qui est le fait de faire des recherches, des collectes et des analyses sur des civilisations anciennes virtuelles. Pour lui, le monde virtuel a aussi son histoire comme le monde réel. Pour faire le lien avec ces œuvres numériques, il a créé une sculpture réelle pour montrer que dans notre monde humain, tout se construit à partir de la terre et que dans le monde virtuel tout se consstruit par des polygones (A partir de logiciel 3d, toute forme d’un univers virtuel a pour origine un polygone qu’on étire pour créer un personnage un élément…).

Les élèves ont donc imaginé leur propre monde virtuel s’il pouvait le créer en s’inspirant de celui de « Hôtel ». Igor a imaginé un vaisseau spatial pixelisé, Cédric une arme à feu évoquant aussi la violence. Voici leurs croquis.

Hôtel est aussi un site : http://hotel.arte.tv/, pour découvrir la suite les séries et l’énigme de ce monde virtuel déconcertant qui se déconstruit.

A bientôt, Clémence.

Découverte de l’œuvre « Fantastic Prayers » au collège Val de Rosemont (Giromagny)

Mardi 19 juin 

L’équipe de l’Espace multimédia gantner est venue présenter l’œuvre « Fantastic Prayers » (2000) des artistes Constance De Jong (écrivaine et performeuse), Tony Oursler (vidéaste) et Stephen Vitiello (artiste sonore) faisant partie de la collection de l’Espace multimédia gantner. Le support de l’œuvre est un coffret comprenant un CD-ROM interactif et d’images sérigraphiées issues de l’œuvre.

« Fantastic prayers », qui signifie prières fantastiques décrit un environnement urbain qui ravive la mémoire des vies vécues, des objets posés ou oubliés, des espaces habités ou abandonnés par le biais de huit chapitres aux récits non fragmentaire, non linéaires et comprenant chacun un univers particulier et différent. On y retrouve aussi la marque du vidéaste Tony Oursler avec les images de  de corps, la projection sur des objets où il questionne  l’humain, le non humain et ses émotions. Les artistes abordent aussi le mythe de l’arcadie, terre en Grèce où les gens étaient heureux vivant d’amour et d’eau fraiche. Ce mythe a été sujet de réflexions de plusieurs philosophes et artistes qui s’interrogeaient  sur les sujets de la mort, de la mélancolie et du bonheur.

Chaque chapitre contient un environnement mystérieux ; l’utilisateur devient un visiteur qui comme un détective est invité à analyser, chercher des fragments narratifs pour reconstituer des histoires psychologiques et physiques. Pour en savoir plus sur l’œuvre, cliquez. 

Par groupe, les élèves ont découvert cette œuvre. Puis à partir d’images du coffret, ces graines de détective ont cherché dans quel chapitre elle était issue. Ils ont ensuite inventé une histoire en rapport avec l’œuvre et l’image et essayé de trouver la manière dont les artistes l’ont conçu (photographie, superposition, image en mouvement, programmation…).

Ce fut une séance riche en échanges, en découvertes et faisant appel à l’imaginaire.

A bientôt !

‘Mon Internet 2012’ vu par le collège Val de Rosemont (Giromagny)

Le mardi 13 mars 2012

Dans le cadre d’un projet cultures collèges « Image unique, multiple et sérielle » dont l’objectif est l’exploitation et la découverte des différents médiums traditionnels et contemporains (nouvelles technologies), un groupe d’élèves de 4ème du collège Val de Rosemont de Giromagny sont venus découvrir l’exposition « Digital Art Works. The challenges of conservation ».  En s’inspirant de l’œuvre monumentale « Internet Dream »  de Nam June Paik, un atelier a été proposé où chaque élève ont exprimé leur vision d’Internet en 2012. Ils ont complété un portrait chinois fictif d’Internet puis ont sélectionné des visuels sur Google Images en fonction de celui-ci. Ensuite, un montage a été réalisé sur un logiciel de montage vidéo. L’ensemble des vidéos des élèves donne une mosaïque d’images qui défilent très rapidement évoquant le flux et la saturation d’informations qui circulent sur le web.

Le tout est une création collective sur : http://temp.cg90.net/Moninternet2012/index.html

Bonne immersion dans le monde Internet.

Atelier « Mon rêve Internet »

Lundi 14 mai 2012.

En mars, les élèves de la classe expérimentale du collège Lucie Aubrac ont pu découvrir les œuvres de l’exposition « Digital Art Works. The challenges of conservation » à l’Espace multimédia gantner dont « Internet Dream » (1994) de Nam June Paik, pionnier de l’art vidéo.

Ce « mur vidéo » monumental est constitué d’un assemblage de 52 moniteurs (télévisions à tubes cathodiques). Sur le grand écran ainsi formé, des images électroniques provenant de trois sources vidéo défilent rapidement.

Digital Art Works. The Challenges of Conservation Une exposition du ZKM | Medienmuseum Nam June Paik „Internet Dream“, 1994                           Collection du ZKM © ZKM | Karlsruhe, Photo: EnBW, Steffen Harms

« Internet Dream » (le rêve d’internet) montre l’intérêt de l’artiste pour la toile Web alors qu’en 1994, l’utilisation d’Internet commence à peine à se développer. Paik, précurseur, s’était même déjà prononcé en 1974 en faveur de l’élaboration d’une « super autoroute électronique, un réseau de communication à haut débit », préfigurant Internet tel que nous le voyons maintenant.

Les télévisions représentent donc cet immense réseau mondial où la communication est facile. Les images qui défilent à grande vitesse sont reliées les unes autres et représentent le flux d’informations qui circulent.

Pour approfondir la visite, un atelier a été proposé autour de l’oeuvre. Aujourd’hui, ce sont les élèves qui expriment leur propre vision de la toile Web. Pour cela, chacun a répondu à un portrait chinois sur Internet : « si Internet était un objet, ce serait…, si Internet était un héros, ce serait… »…

Pour chaque réponse, les élèves ont recherché une image sur google. Puis, ils ont fait un montage sur le logiciel Imovie avec la consigne de créer une composition avec un seul ton de couleur (rouge, vert, jaune, etc.).

Le résultat final donne une création collective où les images défilent très rapidement montrant une vision commune d’Internet.

[vimeo]http://vimeo.com/42617003[/vimeo]

A bientôt!

Quelques souvenirs des visit'ateliers autour de l'exposition "Digital Art Works. The Challenges of Conservation".

Les classes qui ont participé aux visit »ateliers de l »Exposition Digital Art Works. The Challenges of Conservation du 25/02 au 24/04/12 : collège Châteaudun (Belfort), collège de Giromagny, collège Lucie Aubrac (Morvillars), lycée Condorcet (Belfort), les écoles primaires de Bourogne.
Les visit »ateliers proposés :
1- Une œuvre, des mots…
L »exposition est présentée au sens large. Par groupe, les élèves choisissent une œuvre, puis à partir d »une liste de mots qu »ils vont choisir, ils vont écrire un texte qui présente l »œuvre.
Un guide de découverte d »une œuvre sert de best online casino ligne conductrice aux élèves. Chaque groupe présente ensuite l »œuvre avec l »aide de la médiatrice.
2- Visite colin maillard.
Sans avoir vu l »exposition, par groupe de 2, l »un les yeux bandés, la deuxième personne le guide et lui explique ce qu »il voit. Ensuite, les duos se retrouvent dans un salle neutre où chacun fait part de son expérience. Celui qui a eu les yeux bandés dessine une œuvre qu »ils ont imaginé. Tout le groupe découvre ensuite l »exposition avec la médiatrice.
3- Mon rêve Internet.
En réalisant un portrait chinois sur Internet, sélection d »images sur Google Images en fonction de celui-ci puis montage d »une vidéo exprimant le flux et la saturation d »informations circulant sur le web.
4- Découverte du fonds documentaire autour de la conservation et de l »histoire de l »art numérique.
Projection de courts documentaires, découverte de documents (livres, dvds…), discussion, temps de recherche…

 

Retour en images…

Quelques souvenirs des visit'ateliers autour de l'exposition "Le temps des images" de Malcolm Le Grice

Quelques souvenirs des visit »ateliers autour de l »exposition « Le temps des images » de Malcolm Le Grice de novembre 2011 à janvier 2012.

Les établissements scolaires participants : le collège Simone Signoret (Baviliers), le collège Châteaudun (Belfort), le collège Lucie Aubrac (Morvillars), le collège de Giromagny, le lycée Condorcet (Belfort), le collège Les Bruyères (Valentigney), le lycée Viette (Montbéliard), les écoles primaires nbso online casino reviews de Bourogne.

Les visit »ateliers proposées :
1- A la découverte des œuvres de Malcolm Le Grice : Visite guidée de l’exposition travail en groupe autour de plusieurs œuvres.
Un guide de découverte de l’exposition à compléter est donné à l’élève lors de la visite.
2-  Atelier mutmédi »art et expérimental : A partir d’un extrait vidéo, exploitation de la boucle ou comment changer une image par la boucle et la couleur.
Travail sur logiciel vidéo.
3- Découverte du fonds documentaire autour du cinéma expérimental.
Projection de courts documentaires, découverte de documents (livres, dvds…), discussion, temps de recherche…
Retour en images et en vidéos.

Vous pouvez aussi voir les créations des élèves du collège Châteaudun (cliquez).

[vimeo]http://vimeo.com/35083958[/vimeo]

 

Atelier « collégiens d’aujourd’hui »: le droit à l’image

Le jeudi 30 septembre de 15h à 17h.

Dans le cadre d’un atelier intitulé « collégiens d’aujourd’hui » tous les jeudis de 15h à 17h,  mené par le professeur d’arts plastiques Sonia Barraux, un groupe d’élèves volontaires découvrent tout ce qui touche autour de l’art et l’ordinateur.

Avec l’intervention de Clémence, cette séance a permis d’aborder la notion de droit à l’image à travers des expériences sur Internet.

Le premier exercice était de taper le nom et le prénom d’un élève sur Google Images et de voir ce que l’on trouvait. Ensuite, une discussion a été menée sur Facebook et Youtube et de leurs utilisations. Puis les élèves ont découvert deux œuvres d’artistes qui travaillent sur le net et qui abordent la notion de droit à l’image : la vidéo 50-50 (2008) d’Oliver Laric (oliverlaric.com/5050.htm) et Ethereal others (2009) de Harm Van den Dorpel (allez sur le site  www.etherealself.com puis regardez votre photographie sur www.etherealothers.com). Et pour finir, les élèves ont lu les lois qui existent sur le droit à l’image et ont en discuté.

Le groupe était étonné et déconcerté de ces lois sur l’image. Tout le monde a un droit sur son image et décide de sa diffusion sur Internet, un blog, un journal…. Si quelqu’un diffuse une image sans un accord signé où la personne figure, elle risque une amende (jusqu’à 75 000 euros) ou un emprisonnement (jusqu’à 7 ans) selon la gravité de l’acte car cela concerne sa vie privée. Et c’est de même pour ceux qui filment une bagarre avec son portable (happy slapping), ils deviennent complices.

Avant de diffuser une image d’une personne, il faut demander son accord signé, même si c’est un ami.